mercredi, avril 27, 2016

Porto Covo (Baixo Alentejo) – km 4567

Tous les jours ne peuvent pas être inoubliables. Aujourd'hui on peut en oublier une partie.
Ce matin je commence par une visite à Sesimbra. Petite ville toute en pente (comme toujours). Petites rues et escaliers dans les vieux quartiers, mais aussi résidences de tourisme en béton pour les week-end des habitants de Lisbonne. Reste le port de pêche avec des bateaux bien colorés.

Port de Sesimbra

Puis je descends vers Portinho, un petit coin de paradis où nous avions déjeuner avec Ghislaine. Cette fois juste un petit café à la terrasse du resto. Souvenirs, souvenirs.

Portinho

Je reprends ma route vers Setúbal. Grande ville où comme souvent il est bien difficile de se garer, surtout que je n'ai pas une Smart. Je voudrais revoir une église avec de curieux piliers de pierre torsadés. Cette fois c'est « fermé pour entretien » (sic).
Il ne reste plus qu'à repartir, mais cette fois par voie maritime. En effet je prends un ferry pour rejoindre la presqu’île de Tróia. Cela m'évite un détour d'au moins 40 km.

Nomade fait du bateau

A partir de là plus grand intérêt. Cette presqu'île n'est qu'une longue bande de sable avec route toute droite. Plus loin quelques plantations de chênes lièges.


Je rejoins la côte à Sines, alors là c'est carrément usines et raffineries. Je fuis.

Encore quelques kilomètres et je longe une série de falaises avec de superbes vagues. C'est là que je vais passer la nuit, face au large et aux vagues. C'est amusant car le parking comprend deux parties. Une première de la taille d'un demi terrain de football est garnie d'une douzaine de camping-cars, une seconde deux fois plus grande sur laquelle je suis seul. La raison, moi je passe sous la barre qui limite l'accès aux grands camping-cars.

Chambre avec vue

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