Cette première étape n'est pas mon vrai départ, puisqu'elle m'a emmené chez les amis Cécile et Dom pour une dernière journée avec Ghislaine. Ce n'est donc que le lundi 28 après un bon déjeuner que je prends le départ avec agitation de mouchoirs blancs. Mais il ne semble pas que mon départ soit cause d'un grand traumatisme.
Cette première étape n'est pas mon vrai départ, puisqu'elle m'a emmené chez les amis Cécile et Dom pour une dernière journée avec Ghislaine. Ce n'est donc que le lundi 28 après un bon déjeuner que je prends le départ avec agitation de mouchoirs blancs. Mais il ne semble pas que mon départ soit cause d'un grand traumatisme.
Route sympa car mon GPS me fait éviter La Rochelle et Rochefort. Mais les paysages sont assez monotones et surtout très plats. De plus le vent latéral n'est pas mon meilleur ami.
Route sympa car mon GPS me fait éviter La Rochelle et Rochefort. Mais les paysages sont assez monotones et surtout très plats. De plus le vent latéral n'est pas mon meilleur ami.
J'arrive à Bourcefranc-le-Chapus pour une vue sur le fort Louvois, mais pas possible de s'en approcher car la marée est haute. Je reprends la route, ou plutôt le viaduc, pour atteindre l'île d'Oléron. Là encore sur le pont le vent malmène mon Nomade. Je décide de remonter jusqu'à l'autre bout de l'île vers le phare de Chassiron. Mais l'île fait bien 25 km de long . Je prends la route la plus courte. Arrivé au pied du phare à l'extrémité Nord de l'île et le vent est toujours aussi violent et les vagues sont magnifiques. Je fais quand même un grand tour à pied autour du phare le long de la pointe. Ça décoiffe. Peu de photos car la lumière est minable, juste quelques images en noir et blanc pour alimenter ma rubrique « Lignes de fuite ».
Il est 19h30 et il me faut trouver un coin pour la nuit. J'ai repéré un parking mais il est situé au sud de l'île. Cette fois au lieu de prendre la route directe comme à l'aller je redescends en suivant la côte.
Je trouve le parking. Il se situe dans un bois de pins au bout d'une petite route. Il n'y a qu'un autre camping-car. Donc dîner puis me voilà devant mon écran à vous écrire. J'espère pouvoir passer ce texte et les photos car le réseau est bien faible.
J'arrive à Bourcefranc-le-Chapus pour une vue sur le fort Louvois, mais pas possible de s'en approcher car la marée est haute. Je reprends la route, ou plutôt le viaduc, pour atteindre l'île d'Oléron. Là encore sur le pont le vent malmène mon Nomade. Je décide de remonter jusqu'à l'autre bout de l'île vers le phare de Chassiron. Mais l'île fait bien 25 km de long . Je prends la route la plus courte. Arrivé au pied du phare à l'extrémité Nord de l'île et le vent est toujours aussi violent et les vagues sont magnifiques. Je fais quand même un grand tour à pied autour du phare le long de la pointe. Ça décoiffe. Peu de photos car la lumière est minable, juste quelques images en noir et blanc pour alimenter ma rubrique « Lignes de fuite ».
Il est 19h30 et il me faut trouver un coin pour la nuit. J'ai repéré un parking mais il est situé au sud de l'île. Cette fois au lieu de prendre la route directe comme à l'aller je redescends en suivant la côte.
Je trouve le parking. Il se situe dans un bois de pins au bout d'une petite route. Il n'y a qu'un autre camping-car. Donc dîner puis me voilà devant mon écran à vous écrire. J'espère pouvoir passer ce texte et les photos car le réseau est bien faible.
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