lundi, avril 15, 2019

Champéry (km 966)


Quatre jours de voyage, quatre jours de beau temps. Comme l’année dernière je suis vraiment chanceux. Pourvu que cela dure.
Ce matin première étape Lausanne. Pour l’instant les villes suisses n’ont rien d’extraordinaire. L’architecture est mélangée, les monuments très banals, par contre tout cela est bien propre. La circulation et l’activité sont minimum. A croire que tout le monde travaille dans des bureaux et que personne ne se promène dans la rue !
Bon, visite de Lausanne avec un détour par la cathédrale. Là encore rien de folichon. Tout cela est très austère et sans grand intérêt.


Je redescends vers le musée des Beaux Arts que j’envisage de visiter. C’est fermé car en cours de déménagement.
Il ne me reste plus qu’à reprendre ma route en suivant toujours les rives du lac. Cette année mon parcours fait que je ne verrai aucun rivage maritime et donc je vais me rattraper avec les lacs.
Les rives du lac sont aménagées en terrasses sur lesquelles pousse de la vigne.



Je dépasse Vevey pour m’arrêter à Montreux. À l’office de tourisme je prends un plan de la ville qui propose un petit circuit. Si le lac est plat, les abords sont très pentus. Donc grimpette jusqu’à une petite église qui domine la ville et le lac. La vue vaut bien l’effort.




Je continue mon chemin jusqu’à Villeneuve qui marque l’extrémité Est du lac. Petite déambulation dans la ville assez coquette avant un rapide déjeuner-sandwitch.
Il ne me reste plus qu’à rejoindre le camping que j’ai prévu. Mon GPS et les routes suisses ne sont pas très en accord. J’emprunte d’abord une route qui se termine en sens interdit. Puis mon GPS veut me faire prendre des petites routes bizarres alors qu’il suffit de suivre la route principale. Je m’aperçois en fin de compte que mon GPS ne connaît pas un pont et donc qu’il me fait faire ce détour. Je fini quand même par arriver au camping situé à plus de 1000m d’altitude, au fond d’une vallée dominée par de superbes montagnes enneigées.




1 commentaire:

  1. Le vin suisses je ne connaissais pas. Elles sont belles ces terrasses cultivées, dominées par les sommets enneigés.

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